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ENVIRONNEMENT du dossier:
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DOSSIER : LES      ROTATIONS d’une figure 
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  Définition |  | 
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  Rotation d’angle 60° |  | 
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  Rotation particulière
  (angle de 180°) |  | 
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| TEST | COURS  | Interdisciplinarité  |  | 
| Soient un point 
  fixe O appelé centre de rotation,
  et un angle  de rotation
  « alpha » : a  donné en grandeur et sens
  . Soit un point « M » quelconque ; traçons l’arc de
  cercle de centre O , de rayon OM , tel que l’angle
  MOM’ = a :
  le point M’ sera dit le transformé de M dans la rotation de centre O ,
  d’angle a. | 
| Soit la figure « F » ; on peut supposer que le
  point O en fait partie ( au besoin , on peut l’y
  relier par des segments auxiliaires OA , OB ). Faisons glisser F de manière que le point O reste fixe , le
  segment OA tournant de l’angle AOA’  = a ;
  la figure F toute entière subit une rotation. La rotation est donc un glissement d’une figure F , dans lequel : 1°)un certain point
  O  de cette figure est fixe . 2°)toute droite orientée
  AB vient prendre une position A’B’ telle que l’angle ( AB , A’B’) soit égal à
  a. Cela est évident pour une droite OI passant par O ; c’est
  encore vrai pour une autre droite AB , parce qu’elle
  tourne du même angle que sa parallèle OI  | 
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| Réciproquement :  |  | 
| Si deux figures F et F’ sont superposables par glissement , la coïncidence pourra toujours se
  réaliser : Exceptionnellement ,
  par une translation ; en général , par une rotation. Soient en effet deux figures F et F’
  superposables par glissement dont deux vecteurs homologues AB et A’B’ ne sont
  passé équipollents ; nous allons prouver qu’elles ont un point double , c’est à dire un point O qui , dans les deux
  figures , occupe une position homologue. Trois méthodes  pour le rechercher : 1°)Ce point O doit être
  équidistant de deux points homologues A et A’ , donc sera sur la médiatrice
  de AA’ ; il sera aussi sur la médiatrice de BB’. | 
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| 2°)Ce point O doit être
  à égale distance de deux droites homologues AB et A’B’, donc sur une des
  bissectrices des angles formés par ces droites ( une bissectrice parfaitement
  déterminée , car les distances sont naturellement affectées de signes qui se
  correspondent dans les deux figures) ; il sera aussi sur une bissectrice
  de AC , A’C’. | |
| 3°) Nous pouvons d’avance mesurer en grandeur et
  signe l’angle a
  de la rotation : c’est l’angle de deux vecteurs homologues AB et
  A’B’ ; du point O on doit voir AA’ sous cet angle a  , donc O sera sur l’arc ,
  de corde AA’ , capable de cet angle ; et aussi sur un arc analogue de
  corde BB’ . Quand on aura obtenu ce point O
  , les triangles OAB et OA’B’ seront égaux ( la première méthode prouve
  qu’ils ont les trois côtés égaux ) et de même sens ; cela prouve que O
  occupe dans l’une et l’autre figure une position homologue ; donc une
  rotation de centre O , d’angle a
  , amènera F sur F’ . | |
| Rotation
  d’angle 60° | |
| F’
  est l’image de F dans la rotation de centre O et d’angle 60° |  | 
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| Cette rotation est appelée : symétrie centrale de
  centre O |  | 
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